
Combattant ultra spectaculaire, Wilson Varela tentera de conquérir le titre HEXAGONE MMA des poids légers le 29 mars prochain, à Poitiers, face à Nicolae Bivol. L’occasion de signer une nouvelle victoire avant la limite, et de confirmer son statut de star française du MMA.
Wilson Varela est de retour au top. Ex-challenger au titre du KSW, auteur d’un combat retentissant contre Salahdine Parnasse en décembre dernier, le “Prototype” s’attaque cette fois à la ceinture d’HEXAGONE MMA ! Ainsi, le 29 mars prochain, à Poitiers, il aura l’occasion de faire parler son striking, pour décrocher une nouvelle victoire avant la limite, et ajouter une belle ligne à son palmarès. Car si la tâche s’annonce corsée, face au redoutable Nicolae Bivol, le talent, lui, est bien là : ancien kick-boxeur professionnel, Varela a de la dynamite dans les jambes, et peut éteindre les lumières à tout instant ! “En réalité, je suis beaucoup plus complet que ce que les gens pensent. Je cache bien mon jeu, j’ai totalement confiance en moi !” Pourtant, Wilson Varela revient de loin. Aujourd’hui populaire et apprécié par le public, le Français n’a pas toujours connu une telle réussite. Avant d’enchaîner les K-O, il a dû faire face à l’échec, et apprendre à relever la tête…
“Mes victoires, elles viennent aussi de mes défaites”
« Il y a quelques années, j’étais au plus bas de ma carrière. Je perdais des combats et je me posais plein de questions. Heureusement, grâce à mon entourage, j’ai retrouvé la confiance dont j’avais besoin. Toutes mes victoires, elles viennent aussi de mes défaites : j’ai appris, et j’ai réussi à avancer.” L’histoire est belle et paraît presque inespérée, pour un jeune homme qui se destinait plutôt à une carrière… de footballeur. “Je suis né au Cap-vert et j’ai passé mon enfance au Portugal. À 15 ans, j’ai quitté toute ma vie du jour au lendemain pour aller vivre en France, avec mon père et mon frère. J’allais intégrer le centre de formation du Sporting Portugal, le club de football de Ronaldo !” Au final, la réussite est quand même là, et Wilson Varela ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. “J’ai faim ! J’ai tellement travaillé que maintenant, je veux tout.”