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Lancé sans plan B

Après avoir réussi avec succès ses débuts professionnels dans la cage d’HEXAGONE MMA, Naim Naloufi sera de retour le 26 janvier prochain, au Zénith de Paris, à l’affiche de l’un des événements les plus suivis de l’année. Une échéance importante pour ce jeune combattant impliqué, qui mise tout sur les arts martiaux mixtes.

« Je suis de la nouvelle école ! » À 23 ans, Naim Naloufi a conscience qu’il s’inscrit dans une génération de combattants modernes, formés par le MMA avant tout autre art martial. « C’est vrai que j’aime bien travailler la boxe anglaise, mais je suis surtout complet, je me sens à l’aise partout », explique le Français d’origine tunisienne. Pour lui, les sports de combat ont d’abord constitué un loisir, avant, finalement, de devenir une passion. « Au bout de six mois d’entraînement, on m’a contacté pour faire un premier combat amateur. Et c’est à partir de là que m’y suis mis à fond. » Un duel déséquilibré, face à un adversaire plus expérimenté et plus lourd de 10 kg, qui ne l’a pas pour autant dégoûté. Loin de là. « C’était nouveau pour moi, je ne connaissais pas ces sensations, mais étonnamment, je n’étais pas stressé, j’étais bien. »

« Je dois absolument réussir »

Quinze apparitions sur le circuit amateur plus tard, Naim Naloufi est finalement passé à l’étape supérieure, en intégrant HEXAGONE MMA, où il a signé sa première victoire professionnelle en mars 2023. « Il me fallait un nouveau défi, je n’avais plus l’envie, la niaque. Là, je suis à fond, je ne fais jamais les choses à moitié ! » Justement, le Parisien a récemment choisi de quitter son emploi, afin de pouvoir consacrer l’intégralité de son temps aux arts martiaux. « Travailler à l’usine la journée et s’entraîner le soir, c’est trop fatigant, et ça diminue la progression. Donc avant mon premier combat professionnel, j’ai décidé de faire les choses proprement, et de me concentrer uniquement sur le MMA. Maintenant, je dois absolument réussir, sinon, il faudra retourner travailler ! » Pas de plan B.