Skip to content
Menu
Menu
Menu
Menu

Professionnel avant l’heure

Sérieux et appliqué, Guillaume Delattre a construit autour de lui un environnement dédié à la performance sportive. Car même s’il débute dans le monde du MMA, le Dijonnais voit loin, et compte bien faire forte impression, le 10 février prochain, pour ses débuts dans la cage d’HEXAGONE MMA.

Guillaume Delattre n’est qu’au début de son parcours de combattant, mais il a déjà une vie organisée autour des arts martiaux. Coach sportif à mi-temps, il a choisi de faire passer sa carrière « avant tout le reste », afin de maximiser ses chances de réussite dans la cage. « L’entraînement est au centre de mon quotidien. J’ai envie d’atteindre le haut niveau et je m’en donne les moyens. » À 25 ans, le Dijonnais entame donc avec beaucoup sérieux son aventure dans les arts martiaux mixtes, après avoir fait ses armes dans les rings de boxe anglaise puis de boxe thaïlandaise. « Je suis un fan d’arts martiaux depuis tout petit, et j’ai toujours cherché à être le plus complet possible. Quand j’ai découvert le MMA, il y a deux ans, j’ai tout de suite adoré, et je me suis senti très à l’aise. » Compétiteur dans l’âme, Guillaume Delattre s’est alors testé sur le circuit amateur français, et arrive maintenant chez les pros, serein.

« J’aime mélanger la boxe et le corps à corps »

« Dans mon club, à Lyon, je me suis beaucoup entraîné avec des combattants de très haut niveau, dont certains qui sont aujourd’hui à l’UFC. Ça m’a rassuré, et ça m’a donné la confiance dont j’avais besoin pour passer professionnel », analyse-t-il. Car malgré son passif de boxeur, Guillaume Delattre s’est construit un style complet, et estime pouvoir s’adapter à chaque scénario de combat. « En amateur, j’ai gagné à chaque fois grâce à la lutte ! Ça peut paraître bizarre, mais j’adore ça. Je ne suis pas unidimensionnel, j’aime mélanger la boxe et le corps à corps, contrôler mon adversaire, utiliser la cage… Il faut encore que je travaille mon jeu au sol, mais je pense vraiment être complet. » Pour le Dijonnais, les promesses sont là. Reste maintenant à répondre présent, à domicile, le 10 février prochain.