HEXAGONE MMA CHALLENGE 1
11 FEVRIER 2023 – ESPACE LÉO LAGRANGE, BEAUMONT-SUR-OISE

FIGHT CARD À VENIR

FIGHT CARD À VENIR
FIGHT CARD À VENIR
Le public du Zénith a été servi ! Pour son retour à Paris, dimanche 22 janvier 2023, HEXAGONE MMA a offert une carte exceptionnelle, où les K-O express ont côtoyé plusieurs soumissions spectaculaires, devant 3000 spectateurs emballés. La soirée a également été marquée par un évènement inédit : le couronnement de la toute première championne du monde de MMA lituanienne. Lors du combat principal, la filiforme Ernesta Kareckaite, 24 ans, a su trouver la faille dans le jeu de Laëtitia Blot, tenante du titre, pour dérober à la Française sa ceinture des -57 kg. « Les rêves deviennent réalité si on travaille dur pour les réaliser », s’est émue la championne, juste après l’annonce de sa victoire par décision partagée des juges.
Mais ce combat âpre et disputé, qui a tourné à l’opposition de style entre la préhension de Blot et la percussion de Kareckaite, est loin d’être l’unique moment fort de carte. Et les chiffres ne trompent pas : sur les huit combats de la soirée, seuls deux ont atteint la limite de temps. Au rayon des finitions, les spectateurs retiendront sans nul doute le TKO supersonique de Dean Garnett, venu à bout de Miguel Haro en moins de 20 secondes. « Je suis là pour être champion de l’organisation ! », s’est exclamé le prodige anglais, qui faisait son retour en MMA après plus de trois ans d’absence.
Outre les performances de Dean Garnett et d’Ernesta Kareckaite, celle de Romain Debienne a également été très remarquée. Et il y a de quoi ! Le boxeur originaire du Nord a livré une véritable guerre debout face à Victor Verchere, conclue par un K-O net, foudroyant, dès la première reprise. Et si le public s’est emballé pendant cet instant de folie, il a également grondé au rythme des coups de Matthieu Letho Duclos. L’autre protégé de Daniel Woirin a impressionné en mélangeant lutte et boxe, pour une victoire finale par K-O technique sur le Polonais Tobiasz Lewandowski.
Forcément, une telle soirée en appelle d’autres. Après avoir fait trembler le Zénith de Paris, HEXAGONE MMA se déplacera prochainement à l’Arena Futuroscope (11 mars) puis aux Arènes de Béziers (3 juin) et à la Reims Arena (17 juin). Cette année sera également marquée par l’inauguration de l’HEXAGONE MMA Challenge, dont la première étape est prévue le 11 février prochain à Beaumont-sur-Oise. Autant d’occasions de délivrer un spectacle de haut vol, dont pourront témoigner tous les spectateurs présents dimanche dans la capitale. Le cadre, l’émotion et la performance : voilà la marque de fabrique d’HEXAGONE MMA.
Après le gala prévu dans la capitale, c’est à Poitiers (11 mars), moins de deux mois plus tard, que la saison de combats reprendra son cours. Suivront ensuite deux dates à Béziers (3 juin) puis Reims (17 juin). Cette année sera également marquée par l’inauguration de l’HEXAGONE MMA Challenge, dont la première étape est prévue le 11 février prochain à Beaumont-sur-Oise. Nouvelle version du FFA Challenge, cette compétition permettra de révéler les combattants de demain.
« Comme notre nom l’indique, la ligue a pour vocation d’aller dans les six coins de l’Hexagone. Paris a évidemment une place importante d’un point de vue stratégique, mais nous souhaitons aussi proposer le meilleur du MMA à l’ensemble du public français, où qu’il se trouve », note Jérôme Pourrut, co-fondateur de la promotion. « Et que ce soit à Poitiers, Béziers et Reims, nous aurons à chaque fois l’occasion d’organiser nos événements dans des cadres magnifiques. »
En effet, pour assurer des shows d’exception, le choix s’est porté sur des lieux singuliers et emblématiques de leur territoire. Pour le gala de Poitiers, l’organisation posera sa cage dans l’Arena Futuroscope. Par la suite, à Béziers, HEXAGONE MMA investira les arènes modernes de la ville, historiquement dédiées à la corrida, et dotées d’une capacité de 13 000 places. Le gala suivant ne sera pas en reste, puisqu’HEXAGONE MMA retournera à l’Arena de Reims, dont elle avait fait l’inauguration en mars 2022.
« J’ai eu l’occasion de visiter les Arènes, et j’ai extrêmement hâte d’y être », s’impatiente Samantha Jean-François, championne de la catégorie féminine -52 kg, qui défendra sa ceinture à Béziers en juin prochain. « J’associe vraiment le MMA aux gladiateurs des temps modernes, donc combattre dans une arène, ça ajoute une saveur particulière. Et même pour le public, ça va apporter une ambiance et une atmosphère spéciale. »
Dans d’aussi prestigieux écrins, la promotion d’arts martiaux mixtes ne compte pas changer sa recette habituelle. Chaque événement s’accompagnera, au minimum, d’un combat mettant en jeu un titre mondial, comme il est d’usage depuis le tout premier événement, organisé en juillet 2021 à la Paris La Défense Arena. Un choix qui a permis, entre temps, de faire émerger des champions identifiés par le public et reconnus sportivement. En tête de liste : la Française Laëtitia Blot, actuellement détentrice de la ceinture des -57 kg. Alors, pour la suite de la saison, l’exigence ne baisse pas. Et quelle que soit la ville, le spectacle et le niveau des combats seront au rendez-vous.
11 février 2023 : HEXAGONE MMA Challenge 1 à Beaumont-sur-Oise.
11 mars 2023 : HEXAGONE MMA 7 au Futuroscope
3 juin 2023 : HEXAGONE MMA aux Arènes de Béziers
17 juin 2023 : HEXAGONE MMA à la Reims Arena
En dix années de carrière, Priscila de Souza a eu l’occasion de défier l’élite du MMA féminin. Juliana Velasquez, ancienne championne du Bellator, Roxanne Modafferi, ex-challenger au titre UFC… Autant d’adversaires de référence avec lesquels la Brésilienne de 33 ans a croisé le fer au fil de ses 22 combats professionnels. Forcément, il est rare qu’un tel parcours ne soit pas émaillé de quelques revers. Mais dans le cas de Priscila, c’est surtout l’agressivité et le taux de finitions qui ressortent de son palmarès. Sept victoires par soumission et deux par K-O, un total rare dans les petites catégories de poids, d’autant plus chez les femmes. Cette propension à éviter la décision des juges découle d’un jiu-jitsu rondement maîtrisé que la Brésilienne pratique et enseigne à Duque de Caxias, en périphérie de Rio de Janeiro.
« Le jiu-jitsu est une véritable thérapie »
« C’est ma passion, mais c’est encore plus que ça », explique-t-elle entre deux cours sur les tatamis. « Ma vie est organisée et définie par ce sport. Le jiu-jitsu est une véritable thérapie, il apporte autant au corps qu’à l’esprit. Je vois tellement de personnes se transformer au fil des mois de pratique, c’est ça qui me rend heureuse. » Un art de vivre qui se répercute aussi sur sa personnalité. « Priscila est animée », décrit son principal partenaire d’entraînement. « En tant que femme, elle est forte et intense dans tout ce qu’elle fait. Dans les combats, elle donne tout son cœur. » Douée, travailleuse, et soucieuse du détail. « Je repense souvent à mes erreurs, aux combats que j’ai pu perdre à cause de petites choses », reprend-elle. « Mais ça me pousse à m’améliorer en permanence ! »
Déjà implantée dans plusieurs grandes régions du monde (Afrique, Moyen-Orient) via Canal + International, Wataaa est également accessible dans l’Hexagone à travers les bouquets Free (chaîne 197) et Bouygues (chaîne 208). À noter que DAZN, le “Netflix du sport” auquel s’est associé l’organisation, diffusera également l’événement dans plus de 150 pays, afin d’assurer un retentissement mondial.
Il faut dire que pour son retour dans la capitale, HEXAGONE MMA a mis en place une soirée d’exception, dans l’une des plus prestigieuses salles parisiennes. Outre la première défense de ceinture de Laëtitia Blot, ancienne championne du monde de judo et actuelle championne des -57kg de l’organisation, neuf autres combats de haut niveau sont ainsi programmés.
Entre autres, le choc entre l’anglais Chris Fishgold -vétéran UFC- et le Français Yazid Chouchane, ou encore le retour du prodige britannique Dean Garnett face à l’expérimenté Miguel Haro. Star des réseaux sociaux depuis ses premières apparitions sur la chaîne Youtube IbraTV, Matthieu Letho Duclos sera également à l’affiche de la carte principale. Le spectacle s’annonce total.
Wataaa (France métropolitaine)
Wataaa Afrique (bouquet Canal +)
« Mes amis diront que j’ai ma ‘touche Cornolle’. Je ne suis pas quelqu’un qui laisse indifférent. Que ce soit en bien ou en mal, on parle de moi. Je pense que je suis destinée à de grandes choses, et je le dis sans prétention. Mais tout le monde doit croire ça de soi. Et j’espère l’inspirer aux autres. » Caractère, ambition, détermination. Nora Cornolle sait ce qu’elle veut et ne demande pas son chemin. Une direction : « l’UFC ». « Je suis sure que j’ai le potentiel pour monter assez haut. Si j’ai le bon entourage, il n’y a aucun raison que je n’y arrive pas. J’ai toutes les caractéristiques, dans et en dehors de la cage. » Cette assurance, loin d’être feinte, la strikeuse de 33 ans se l’est construite au fil de ses titres sportifs et expériences personnelles. Combattante de boxe thaï à haut niveau, elle a d’abord été sacrée championne d’Europe, avant de décrocher l’argent en 2022 lors des Jeux Mondiaux, compétition internationale regroupant les disciplines non olympiques. La consécration pour une athlète venue au muay thaï un peu par hasard, à l’occasion d’une année de césure en Thaïlande, dix ans plus tôt, en plein milieu d’un master de communication.
« Tu ne vas plus pouvoir reprendre ta vie d’athlète »
Finalement, c’est aux arts martiaux mixtes qu’elle se dédie maintenant, et nombreux sont les observateurs qui lui président un bel avenir dans cette voie. « À la base, je cherchais juste des nouveaux sparrings, donc je suis allée à la Snake Team de Cyrille Diabaté. Et en fait, une fois là-bas, j’ai appris le MMA sur le tas. Je faisais un peu de lutte par ci, un peu de sol par là. Mais je n’étais pas prête à abandonner mon sport. » Le tournant arrive en 2019. Mise à l’arrêt par des graves problèmes de santé, Nora Cornolle effectue une longue pause, et finit par reprendre… avec le MMA. « Je pense que ça m’a apporté d’avoir des médecins qui me disent ‘tu ne vas plus pouvoir reprendre ta vie d’athlète’, et de finalement m’en sortir. » Mais dans la cage, tout n’a pas été si simple. « Au début, ce n’était pas du tout naturel. En muay, mon style est basé sur le fait d’avancer en permanence. Je n’ai pas peur de prendre des coups. Mais en MMA, c’est pas possible de faire ça ! Donc il fallait que je me transforme en tant que combattante. Que j’apprenne à être patiente, à gérer, à ne pas aller tout de suite à l’impact. » C’est maintenant chose faite, même si la marge de progression est encore grande.
À regarder Wilson Varela bouger et frapper dans l’octogone, on pourrait s’imaginer qu’il a été biberonné au kick-boxing. En réalité, c’est tout l’inverse, car sa discipline de formation, c’est le sambo. « J’ai commencé vers 16 ans, et directement après, je me suis mis au pancrace. Comme je me débrouillais bien, j’ai fait quelques combats professionnels, mais j’ai tout arrêté en 2016, pour repartir de zéro », retrace le Portugais de 27 ans. En cause, son striking défaillant. « Au sol, je me débrouillais bien, mais debout, c’était très compliqué. » Retour aux bases, et au travail de l’ombre dans les salles de boxe pieds-poings. Déterminé, Wilson Varela débute alors une nouvelle carrière en kick-boxing, ponctuée d’une trentaine de combats professionnels. Au total, l’interruption aura duré plus de cinq ans, puisque ce n’est qu’en 2021 que le jeune talent se redirige vers le MMA, métamorphosé. « En réalité, je ne me sentais pas encore prêt. Mais maintenant, debout, je suis très sûr de moi », explique l’élève de Jean-Michel Foissard, au Marseille Fight Club.
« Un champion ne se plaint jamais »
Un temps en grande réussite dans la cage, il joue ensuite de malchance, et encaisse plusieurs revers. Son dernier coup dur, une entorse de la cheville en plein combat. « Mais comme on dit, un champion ne se plaint jamais. C’est fait, c’est écrit, il ne faut pas se trouver d’excuses. » Une bonne mentalité pour un jeune homme intelligent, quadrilingue, qui tire son éducation des trois cultures dans lesquelles il a grandi. « Je suis né au Cap-vert, mais j’ai passé mon enfance au Portugal. Et à 15 ans, je suis finalement arrivé en France. Quand je suis venu, j’ai quitté toute ma vie du jour au lendemain. J’allais intégrer le centre de formation du Sporting Portugal, le club de Ronaldo, mais je voulais absolument aller vivre avec mon père et mon frère, donc je suis parti. » Il aurait pu avoir une toute autre carrière, mais se satisfait aujourd’hui pleinement des arts martiaux, même si « le MMA ne paie pas encore toutes les factures ». Alors il alterne : coach sportif le matin, combattant l’après-midi. « J’arrive à jongler entre les deux, donc tout va bien. »
Eva Dourthe aurait pu dédier sa vie au judo. Elle était même bien partie pour, puisqu’à 21 ans, la jeune militaire en avait déjà passé 17 sur les tatamis. Mais une ceinture noire et des championnats de France ne remplacent pas la flamme de la passion. « C’était difficile car je pensais que je ne savais faire que ça », se souvient-elle aujourd’hui, à 35 ans. « J’aimais ce que je faisais, mais je sentais qu’il me manquait quelque chose. » L’ingrédient recherché : la percussion. « Il me fallait un peu de challenge. Des frappes. Je n’ai jamais appréhendé les coups. » Débutent alors pour Eva, engagée dans la marine nationale, quelques années de rugby, mêlées à de la boxe anglaise et du jiu-jitsu. Un pont parfait vers les arts martiaux mixtes. « Ensuite, quand je suis allée vivre à Paris, j’ai rencontré Johnny Frachey, et c’est comme ça que j’ai atterri au NR Fight pour faire du MMA. On a un bon groupe de filles là-bas. » Formée par le judo, très utile pour « les formes de corps, la préhension et les déséquilibres », elle se révèle performante en MMA, et se hisse rapidement jusqu’à la ceinture de d’European Beatdown.
« Combattre en France, c’est ce qui me manquait »
Athlète aguerrie par plusieurs années de pratique, Eva Dourthe s’estime à présent complète, malgré un léger « déficit en pieds-poings ». « J’arrive à mettre en difficulté beaucoup de filles debout, mais ma boxe n’est pas très scolaire, pas vraiment en ligne. » Quoi qu’il en soit, le MMA fait maintenant entièrement partie de son rythme de vie, puisqu’en plus de ses entraînements quotidiens, l’ancienne judokate dispense des cours d’arts martiaux au sein de l’armée. « Avant, pour la marine, je partais en mission pendant plusieurs mois, j’ai fait toute l’Afrique de l’est et toute la Méditerranée orientale. Mais aujourd’hui, je suis prof, spécialisée dans les sports de combat. On n’est que deux femmes à faire ça en France. Avec le terrorisme, tout ce qui tourne autour du self-défense est vraiment rentré dans les formations. » Le 22 janvier, elle sera donc plus que jamais à domicile. Une perspective qui l’enchante. « Ça fait quelques années que je suis sur le circuit, mais j’ai toujours combattu à l’étranger. Combattre en France, c’est ce qui me manquait. »
L’histoire de Parwiz Arabzai ressemble à celle de beaucoup d’immigrés du Moyen-Orient. Originaire d’Afghanistan, il a fui la guerre pour rejoindre l’Europe et “retrouver la liberté”. “Quand j’avais 16 ans, j’ai quitté ma famille, et je suis parti seul, en camion”, explique-t-il aujourd’hui, à 24 ans, dans un bon français toutefois marqué par un net accent. “On a passé illégalement le Pakistan, l’Iran, la Turquie… J’ai même été en prison en Bulgarie. Ce serait très long de tout raconter, c’était comme dans un film.” Une année complète de voyage et de “galères”, pour finalement arriver en France en 2017, sans famille ni repères. Débarqué à Paris, sur le conseil d’un compatriote rencontré sur internet, il passe ses premiers jours dans la rue, déboussolé. “J’ai dormi quelques semaines dehors, et après, je suis rentré dans un foyer. Avec le temps, j’ai finalement pu avoir mes papiers.” Un peu plus stable, il demande alors à son assistante sociale de lui trouver une salle de sport, et atterrit, par hasard, à la Free Fight Academy.
“Mon pays me manque, ma famille me manque”
Sans aucun autre bagage sportif que la lutte, pratiquée dehors, entre amis, dans les rues de Kaboul, Parwiz Arabzai débute donc le MMA sous la houlette de Mathieu Nicourt, et se construit progressivement un palmarès. Aujourd’hui, il s’estime “très complet”, et assure pouvoir s’adapter à son adversaire quel que soit le domaine. “Striking, lutte, sol, tout me va. Mais j’ai vraiment confiance en mes poings. Je sais que si mon adversaire en prend une seule, il tombe K-O. Récemment, ma mentalité à vraiment évoluée, je veux absolument finir mes combats, et je sais que j’en suis capable. “Outre la polyvalence et la puissance, c’est surtout sa détermination, issue d’un passé complexe, qui constitue l’un de ses principaux points forts. “Je ne suis pas retourné en Afghanistan depuis 2017. Mon pays me manque, ma famille me manque… Donc je veux vraiment atteindre le plus haut niveau. Pour eux.”
C’est d’ailleurs avec elle que Victor Verchere a découvert les arts martiaux mixtes, à la télévision, en suivant certains combattants de Brasilia, la ville dont il tire ses origines. « J’ai commencé le MMA en 2012, et c’est vite devenu une passion. Du coup, en 2015, j’ai décidé de m’y mettre à fond, en allant m’installer au Brésil. » Un retour aux sources dans la capitale, où il conserve encore quelques attaches familiales. « Là-bas, je vivais un peu comme tout le monde, je n’étais pas avec les gens aisés. Comme j’étais venu pour le sport, je n’avais pas de travail, et j’ai commencé par nettoyer la salle où je m’entraînais, histoire de gagner un peu d’argent. Au fur et à mesure, j’ai progressé, et j’ai fini par y donner des cours. »
« L’objectif, c’est de gagner mon combat. On réfléchira après. »
Entre 2015 et 2020, le Franco-brésilien a pu perfectionner son MMA dans l’un des berceaux des arts martiaux. « La philosophie d’entraînement est vraiment différente. On s’entraîne dur, on fait des très gros sparrings. C’est un peu à l’ancienne, mais l’ambiance est vraiment chaleureuse. » Satisfait de son expérience, notamment marquée par des débuts professionnels dans la cage, Victor Verchere a finalement choisi de rentrer en France après cinq ans passés sur place, plus que jamais attaché à sa double nationalité. « Avant de partir, quand j’étais en France, je me sentais Brésilien. Sur place, je me suis senti Français. Et maintenant, je sais que l’un ne va pas sans l’autre. » Combattant complet, formé au MMA avant tout autre art martial, le licencié du Phoenix Cross Fight construit maintenant sa carrière sans prise de tête. « Je fais les choses au jour le jour. L’objectif, c’est de gagner mon combat. On réfléchira après. »
Quand la passion vous dévore, les barrières s’effacent rapidement. La vie de Nika Kobaxidze en est un exemple frappant : Géorgien d’origine, il a posé ses bagages en France en 2017, aspirant y mener une vie, hypothétique, de combattant de MMA. Seul, sans repères, et presque sans expérience. « J’ai commencé les arts martiaux dans mon pays en 2015, et au bout de deux ans seulement, je me suis dit que je voulais m’y consacrer totalement. J’étais sûr de moi », explique le jeune homme de 27 ans, dans un français correct. « C’était un risque de partir loin, tout seul, pour tenter de faire une carrière. Surtout que je ne savais pas si j’avais du talent. Mais chez nous, on dit que la réussite, c’est 10 % de talent, et 90 % de travail. » Paradoxalement, lorsqu’il atterrit en France pour se dédier au MMA, la discipline n’y est pas encore légalisée. « En fait, je voulais surtout quitter la Géorgie. Je savais qu’il fallait aller dans un gros pays, où il y a plus d’opportunités et de chances de progresser », justifie-t-il. « Et comme mon père connaissait des gens en Bretagne, c’est là que je suis allé. »
« Quand je boxe, je me sens chez moi. »
Désireux d’optimiser son environnement de travail, Nika Kobaxidze décide, quelques années plus tard, de rejoindre la capitale, mieux fournie dans le domaine des arts martiaux. Direction le Phoenix Cross Fight, en région parisienne, où il peaufine encore actuellement son style de striker, nourri par des années de pratique de la boxe thaï et du kick-boxing. « J’aime bien combattre debout. Non seulement c’est plus spectaculaire, mais en plus, quand je boxe, je me sens chez moi. » Son vrai chez-lui, la Géorgie, il ne l’a en revanche plus vu depuis son départ. « Je n’ai pas pu y retourner pour le moment. Ça me manque beaucoup, mais je sais que là-bas, les gens me suivent, et ça me fait plaisir. » En attendant de revoir les siens, Nika Kobaxidze s’attelle à améliorer ses compétences martiales, tout en alternant les petits boulots. « Pour l’instant, je travaille à gauche et à droite. J’ai été en cuisine ou sur des chantiers. Là vie d’un étranger quoi. »
À chacune de ses victoires, Stéphanie Ielö Page s’enroule avec fierté dans le drapeau bleu, rouge et vert du FLNKS, le parti indépendantiste kanak. Car c’est de Nouvelle-Calédonie que la combattante de 34 ans tire ses origines, par sa mère, et son deuxième prénom, que « personne ne prononce correctement ». « Là-bas, ils me suivent beaucoup. Comme c’est un petit département d’outre-mer, ils sont très contents d’être représentés. Je sais que mes combats passent souvent dans les journaux. » Loin de ses racines, Stéphanie Ielö Page est née et a grandi à Brest, où elle vit et s’entraîne encore actuellement, au sein du Boxing Lab. « Pendant un moment, j’ai habité à Paris, parce que c’était plus facile pour la boxe. Mais l’année dernière, je suis revenue en Bretagne, et on a créé ce club », retrace-t-elle. Car avant de se convertir avec succès au MMA, la strikeuse calédonienne avait déjà tutoyé le très haut niveau martial, allant jusqu’à remporter cinq championnats du monde de boxe thaï, puis quatre titres mondiaux en K1.
« À côté des arts martiaux, je suis poissonnière »
Forcément, ses performances dans la cage ont été précédées par de longues heures d’apprentissage de la lutte et du jiu-jitsu, deux disciplines « complètement inconnues » avant sa transition. « Mon premier combat de MMA, je l’ai perdu sur une clé de bras, mais je n’avais jamais fait de sol. Du coup, je me suis dit : ‘il va peut-être falloir insister là-dessus’ », en sourit-elle aujourd’hui. « C’est encore un point faible, mais depuis, j’ai adapté ma boxe en fonction de ça. Mon travail à l’entraînement repose beaucoup sur le fait d’esquiver les amenées au sol. » Pour continuer sa progression, et optimiser ses différents camps de préparation, Stéphanie Ielö Page a également la chance de disposer d’horaires de travail très avantageux. « À côté des arts martiaux, je suis poissonnière, donc je fais les marchés le matin. Quand je suis revenue de Paris, je cherchais du travail, et je me suis dit que je pouvais tenter ça. Mais je n’y connaissais rien, je suis partie de zéro. J’ai dû apprendre à faire les filets et à reconnaître les poissons ! L’avantage, c’est que ma patronne est très compréhensive. Quand je lui demande quelques jours pour partir combattre à l’étranger, elle est tout le temps d’accord. »
« Vous verrez à la pesée, je ne suis plus le même bonhomme. » Damien Losco Remy a le chic pour faire monter la tension, certes, mais surtout une profonde confiance en sa préparation.
Un temps annoncé comme un véritable prospect chez les poids lourds, le combattant de région parisienne amorce cette fois une mutation chez les -93 kg à l’occasion d’HEXAGONE MMA 6. Victime d’une rupture des ligaments croisés antérieurs du genou gauche lors de sa dernière apparition dans la cage, l’an dernier, Damien Losco Remy, 34 ans, a donc choisi de repartir sur des bases solides. « Je ne suis pas un poids lourd naturel », explique-t-il simplement. « Il se trouve que j’ai été propulsé sur une ceinture en 2019, et après ça, toutes les grosses organisations m’ont identifié comme un poids lourd. Donc là, c’est un retour en arrière. D’ailleurs, lorsque j’ai été champion du monde amateur de boxe thaï, en 2018, c’était chez les -86kg ! »
« J’ai toujours navigué entre les disciplines »
Car de surcroît, le représentant du Phoenix Cross Fight -où il donne également des cours- dispose d’un bagage martial très varié. En plus de son expérience en pieds-poings s’ajoute une ceinture noire premier degré de jiu-jitsu brésilien, et tout récemment une ceinture marron de luta livre. « Dans mon parcours, j’ai toujours navigué entre les disciplines. Entre l’anglaise, le muay, le sol… À la base je suis plutôt boxeur, mais j’ai largement comblé les trous. Maintenant, je n’ai plus de point fort, je me sens très complet dans tous les domaines. » Damien Losco Remy met aussi à profit la profonde connaissance de son corps, qu’il a développée en exerçant son métier de naturopathe, en parallèle des tatamis. « Ça regroupe les massages et l’utilisation de plantes ou d’huiles essentielles. Moi, ma spécialité, ce sont les douleurs articulaires. Je sais comment les traiter, et ça a un impact direct sur mes performances. » La tête au service du corps, et le corps au service de la performance.
Ces derniers temps, lorsque Dean Garnett est apparu dans la cage, il ne portait ni gants ni protège-dents. Car à côté de son activité de combattant, le natif de Liverpool se dédie également au coaching de haut niveau, au sein de l’Aspire Combat Sports Academy, la salle dont il est propriétaire. Depuis 2018, ce volet a même pris le dessus sur sa carrière, mais pas pour rien. En tant qu’entraîneur, Dean Garnett a amené le prodige Muhammad Mokaev jusqu’au top 15 de l’UFC, et fait monter toute une armée de jeunes britanniques aux dents longues. Cette fois, il est temps pour lui de retourner à son premier amour : le combat.
Un grappling de haut niveau
Près de cinq ans après son dernier passage dans l’octogone, le Scouser de 34 ans a choisi HEXAGONE MMA pour faire son grand retour, et prouver au monde des arts martiaux mixtes qu’il n’a rien perdu de son talent. Spécialiste du grappling, il compte cinq soumissions sur ses neuf succès en carrière, mais performe aussi debout, capable de placer des K-O sur coup de pied retourné. En clair, un combattant spectaculaire, longtemps considéré comme la relève britannique, qui aura à cœur de marquer les esprits.
Haro, élève du Boxing Squad
Le 22 janvier, le Zénith de Paris accueillera donc un duel de revenants, puisqu’en face de Dean Garnett, absent depuis 2018, se tiendra Miguel Haro, 17 combats à son actif, dont un seul depuis 2016. Strikeur formaté par Aldric Cassata, l’excellent coach niçois du Boxing Squad, le Franco-espagnol de 30 ans devra se surpasser pour réussir à imposer sa distance. De plus, face à un vrai client. Mais rien de nouveau pour Miguel Haro, qui a écumé l’Europe au fil des main-events et des adversaires redoutables. Suisse, Suède, Italie, Finlande… Il a même affronté la star Paddy Pimblett, alors en pleine ascension, lors du combat principal d’une soirée britannique. La pression, ça le connaît.
Voilà une affiche qui risque de faire trembler la foule. La cage du Zénith sera en effet le théâtre, lors d’HEXAGONE MMA 6, d’un véritable choc entre le Britannique Chris Fishgold et le Français Yazid Chouchane. Deux combattants de grand talent, mais surtout deux finisseurs, qui feront tout pour éviter la décision des juges.
D’un côté, Chris Fishgold, 30 ans, s’avance avec une sérieuse expérience du plus haut niveau. Le natif de Liverpool a réalisé ses quatre derniers combats à l’UFC, où il a, entre autres, affronté Calvin Kattar, l’une des principales figures de l’organisation. Mais son palmarès ne s’arrête pas là. Plus tôt dans sa carrière, il s’était déjà fait un nom en remportant la ceinture des poids-légers du Cage Warriors, une référence au niveau européen. Avec son grappling de haut vol, Fishgold est particulièrement redoutable dans les phases de sol, puisqu’il comptabilise un impressionnant total de 13 soumissions sur l’ensemble de ses 18 victoires (18-4-1).
À Paris, le Britannique devrait trouver sur sa route un adversaire de taille en la personne de Yazid Chouchane (8-3), l’une des références françaises à -70 kg. Bercé par le MMA depuis son plus jeune âge, il a lui-aussi connu les grands rendez-vous dans cette discipline, en témoigne son combat pour la ceinture de l’UAE Warriors, disputé à Abu Dhabi fin 2021. Lors d’HEXAGONE MMA 6, Chouchane aura l’occasion de passer un cap, et surtout de confirmer sa bonne dynamique du moment, puisqu’il comptabilise trois succès sur ses quatre dernières sorties. Avec une dernière victoire acquise par K-O en une quarantaine de secondes seulement. Les spectateurs sont prévenus.
Places également en vente dans tous les points de vente habituels (Ticketmaster, FNAC, Carrefour…)
Un an auparavant, lors d’Hexagone MMA 2, déjà organisé à La Villette, les deux femmes s’étaient quittées sur un match nul, après une opposition de style âpre et engagée. Blot, judokate et lutteuse, avait tenté d’imposer sa puissance de préhension face à la longiligne Kareckaite, experte de la boxe pieds-poings. Mais paradoxalement, c’est au sol, dans des phases de grappling, que la Française avait été mise en difficulté, échappant de justesse à plusieurs étranglements.
Un mauvais souvenir qui l’a fait progresser, et dont elle tire aujourd’hui un sentiment de revanche. Car depuis, les choses ont changé. D’un côté, Laëtitia Blot, 39 ans, s’est emparée de la ceinture mondiale des poids mouche de l’organisation, en disposant de la prometteuse Mariam Torchinava lors d’Hexagone MMA 5. En face, Ernesta Kareckaite n’a pas chômé non plus, puisqu’elle reste sur une victoire face à Kate Bacik, acquise à Dubaï, en août 2022, à l’occasion du premier événement d’Hexagone MMA organisé hors de la France.
Au Zénith, l’enjeu de la revanche sera donc bien supérieur à celui du premier affrontement. Pourtant, l’équation reste la même : qui arrivera à imposer son style ? La contender Ernesta Kareckaite et ses high kicks fulgurants, ou la tenante Laëtitia Blot, ex-championne du monde de judo, jamais avare d’une amenée au sol ? Passation de pouvoir ou début d’un long règne ? Réponse dimanche 22 janvier 2023.
Ce sera donc une revanche ! Pour sa première défense de ceinture, l’ancienne championne du monde de judo Laëtitia Blot croisera à nouveau le chemin de la Lituanienne Ernesta Kareckaite en combat principal de la soirée. Un duel d’invaincues, mais surtout une seconde opposition entre deux femmes qui s’étaient quittées sur un match nul très disputé lors d’HEXAGONE MMA 2. Entre temps, Blot, 39 ans, s’est emparée du titre mondial des -57 kg, et entend bien le conserver au Zénith de Paris, devant son public.
« Le prochain match contre Ernesta ne sera pas du tout comme le premier. On a beaucoup évolué toutes les deux depuis », a d’ailleurs souligné la Française en conférence de presse.
À moins de deux mois d’HEXAGONE MMA 6, l’événement se concrétise sérieusement, puisque huit autres combats ont été officialisés, sur les dix que comportera la carte. Autre choc prévu au programme : l’affrontement entre Chris Fishgold, ancien champion des poids-légers du Cage Warriors, et le Français Yazid Chouchane, l’un des meilleurs représentants tricolores dans la catégorie. La tâche s’annonce relevée pour ce dernier, qui fera face à un combattant d’expérience, dont les quatre dernières sorties se sont faites dans la prestigieuse cage de l’UFC. Athlète ultra-spectaculaire, Fishgold fera tout pour ajouter une 14e victoire par soumission à son impressionnant palmarès. À noter que les deux adversaires se sont accordés sur une opposition à -73 kg.
Comme Laëtitia Blot, qui effectuera sa quatrième apparition dans la cage d’HEXAGONE MMA, d’autres figures de l’organisation seront au programme, à commencer par le poids moyen Matthieu Letho Duclos. Auteur d’un K-O foudroyant lors du dernier événement, l’ancien arbitre des combats amateurs de la chaîne Youtube IbraTv tentera de surfer sur sa belle dynamique face au Polonais Tobias Lewandowski. Idem pour la Néo-Calédonienne Stéphanie Ielö Page, qui aura fort à faire contre l’expérimentée Eva Dourthe, pionnière du MMA féminin en France. À la clé, un duel strikeuse-lutteuse très attendu par le public chez les -52 kg.
L’ancien poids-lourd Damien Losco Remy, gravement blessé en plein combat dans la cage d’HEXAGONE MMA 3, fera quant à lui son retour à la compétition chez les -93 kg, face au Tchèque Martin Horsky. Un changement de catégorie qui sera scruté par beaucoup d’observateurs, au vu du potentiel du Français, véritable espoir des arts martiaux mixtes. « Croyez-moi, dans la cage, ce sera un nouveau Damien », a-t-il annoncé en conférence de presse. Au rayon des combattants d’avenir, la brillante Nora Cornolle débutera au sein de l’organisation le 22 janvier, en poids coqs, face à la Brésilienne Priscila de Souza. Médaillée mondialement en boxe thaï, Cornolle a réussi une superbe transition vers le MMA, et reste sur un série de trois victoires consécutives. « J’aurai un vrai test, car mon adversaire est très expérimentée. Elle a 22 combats alors que j’en ai seulement quatre », a développé la Française, devant les micros du DOJO 5.
Enfin, trois autres oppositions ont été officialisées pour la carte du Zénith de Paris. L’Afghan Parwiz Arabzai affrontera le Géorgien Nika Kobaxidze (-70 kg), le Portugais Wilson Varela sera opposé au Polonais Kacper Brodziak (-70 kg), et le Français Romain Debienne fera face au Franco-brésilien Victor Verchere (-77 kg). Les derniers combats seront annoncés prochainement.
Places également en vente dans tous les points de vente habituels (Ticketmaster, FNAC, Carrefour…)
Déjà apparu dans la cage d’HEXAGONE MMA à Dubaï, Wilson Varela (6-5) fera ainsi un retour très attendu devant le public de la capitale. Combattant talentueux au passif de kick-boxeur, il est suivi à chaque sortie par de nombreux fans, en témoigne l’activité de ses réseaux sociaux, où il cumule plus de 100 000 abonnés. Une popularité qui n’a rien d’étonnant, puisque les quatre dernières victoires du Portugais ont été acquises par finition, avant la limite de temps.
Également spécialisée dans la boxe pieds-poings, l’invaincue Ernesta Kareckaite (3-0-1) disputera au Zénith son troisième combat pour le compte de l’organisation, avec l’objectif de faire parler son allonge et sa technique de percussion. Deux autres athlètes féminines effectueront quant à elles leurs débuts au sein d’HEXAGONE MMA : l’expérimentée Eva Dourthe (5-5) et la prometteuse Nora Cornolle (3-1), qui reste sur trois succès consécutifs, dont le dernier à Abu Dhabi (UAE Warriors), sur une magnifique séquence de ground and pound.
Excellente judokate, éduquée par les sports de contact et le milieu militaire, Eva Dourthe a notamment remporté la toute première ceinture féminine de l’European Beatdown et cumule aujourd’hui dix com-bats de MMA. Moins expérimentée dans la discipline, Nora Cornolle compte en revanche un bon pe-digree de pieds-poings. Médaillée mondialement en muay thaï, elle a parfaitement négocié sa transition vers les arts martiaux mixtes, et s’affirme maintenant comme une combattante complète, qu’il faudra surveiller lors de ses prochaines sorties.
Pour rappel, Laëtitia Blot, Matthieu Letho Duclos, Stéphanie Ielö Page, Damien Losco Remy, Romain Debienne et Victor Verchere ont déjà été annoncés sur la carte du 22 janvier. D’autres suivront dans les prochaines semaines. L’affiche prend de l’ampleur mais réserve encore quelques surprises.
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Seront présents :
Benoît Saint-Denis (combattant UFC)
GregMMA (youtubeur n°1 de la discipline)
Lucie Bertaud, finaliste de Koh-Lanta 2021, aujourd’hui en contrat avec le Bellator.
Trois gammes de places VIP sont ainsi mises en vente, allant de 199 à 399 euros.
Les détenteurs de billets de catégorie VIP-Rang 3 (199 euros) bénéficieront de l’entrée VIP – évitant tout temps d’attente – et d’une sélection de cadeaux proposés par HEXAGONE MMA.
Dans le cas des tickets VIP-Rang 2 (299 euros) et VIP-Rang 1 (399 euros) s’ajouteront à ces prestations un buffet et un service de cocktails, mais aussi une séance de questions et réponses avec Benoit Saint-Denis, GregMMA et Lucie Bertaud ainsi qu’une photo dans la cage avec eux.
À noter que les places de catégorie VIP-Rang 1 sont les mieux situées du Zénith, et donnent une vue imprenable sur la cage !
En résumé :
Places également en vente dans tous les points de vente habituels (Ticketmaster, FNAC, Carrefour…)
Et afin d’assurer le spectacle, le choix s’est porté sur plusieurs combattants phare des arts martiaux mixtes français, à commencer par l’invaincue Laëtitia Blot. Ancienne championne du monde de judo, elle défendra pour la toute première fois sa ceinture mondiale des poids mouche (-57 kg), acquise en bataillant lors du dernier show.
D’autres athlètes ayant déjà combattu dans la cage d’HEXAGONE MMA y feront également leur retour, dont Matthieu Letho Duclos, rendu populaire pour avoir arbitré les combats amateurs de la chaîne Youtube IbraTV. Dans la cage, il s’était illustré en plaçant un K.-O. foudroyant en ouverture de la carte d’Oberhausen, le 15 octobre 2022. Issus de la boxe pieds-poings, Stéphanie Ielö Page sera aussi de la partie, tout comme le prometteur Damien Losco Remy, attendu cette fois chez les poids lourds-légers (-93 kg), après un début de carrière en poids lourds.
Enfin, Romain Debienne (sur 3 victoires consécutives) et le brésilien Victor Verchere (qui a combattu au Bellator à Paris) débuteront au sein de l’organisation sur HEXAGONE MMA 6. Ils auront évidemment à cœur de marquer les esprits, alors que l’événement sera une nouvelle fois diffusé dans plus de 150 pays, via la plateforme de streaming sportif DAZN.
Places en vente HEXAGONE MMA 6 au Zénith de Paris.
À partir de 29 € / Package VIP disponible :
Places également en vente dans tous les points de vente habituels (Ticketmaster, FNAC, Carrefour…)
GAGNANT
HEXAGONE MMA 1 – POIDS PLUME
ROUND
3
TEMPS
5′
MÉTHODE
UD
GAGNANT
HEXAGONE MMA 1 – POIDS MI-MOYEN
ROUND
3
TEMPS
5′
MÉTHODE
UD
HEXAGONE MMA 1 – POIDS MOUCHE
ROUND
3
TEMPS
5′
MÉTHODE
MD
GAGNANTE
GAGNANT
HEXAGONE MMA 1 – POIDS MI-MOYEN
ROUND
1
TEMPS
5′
MÉTHODE
DIS
GAGNANT
HEXAGONE MMA 2 – POIDS LOURDS
ROUND
1
TEMPS
2’58
MÉTHODE
TKO
GAGNANT
HEXAGONE MMA 2 – POIDS LÉGER
ROUND
1
TEMPS
1’13
MÉTHODE
SUB
GAGNANT
HEXAGONE MMA 1 – POIDS PLUME
ROUND
3
TEMPS
5′
MÉTHODE
UD
GAGNANT
HEXAGONE MMA 2 – POIDS LÉGER
ROUND
1
TEMPS
1’13
MÉTHODE
SUB
GAGNANT
HEXAGONE MMA 2 – POIDS MOYEN
ROUND
1
TEMPS
0’40”
MÉTHODE
SUB
GAGNANT
HEXAGONE MMA 2 – POIDS MOYEN
ROUND
1
TEMPS
0’40”
MÉTHODE
SUB
HEXAGONE MMA 2 – POIDS MOUCHE
ROUND
3
TEMPS
3’18
MÉTHODE
TKO
GAGNANTE
GAGNANT
HEXAGONE MMA 2 – CHAMPIONNAT DU MONDE POIDS MI-MOYEN
ROUND
1
TEMPS
4’31
MÉTHODE
SUB
GAGNANT
HEXAGONE MMA 3 – POIDS LÉGER
ROUND
3
TEMPS
5′
MÉTHODE
UD
GAGNANT
HEXAGONE MMA 3 – POIDS LÉGER
ROUND
3
TEMPS
5′
MÉTHODE
UD
HEXAGONE MMA 3 – POIDS MI-MOYEN
ROUND
1
TEMPS
0’36”
MÉTHODE
SUB
GAGNANT
HEXAGONE MMA 3 – POIDS MI-MOYEN
ROUND
2
TEMPS
5′
MÉTHODE
RET
GAGNANT
HEXAGONE MMA 3 – POIDS LOURDS
ROUND
3
TEMPS
5′
MÉTHODE
UD
GAGNANT
HEXAGONE MMA 3 – POIDS LOURDS
ROUND
3
TEMPS
5′
MÉTHODE
UD
GAGNANT
GAGNANT
HEXAGONE MMA 2 – POIDS LOURDS